Bonjour à tous,
Pour de plus amples infos sur l'incrustation d'un noeud celtique, on peut se reporter aux deux liens suivants. Ils sont en anglais, mais les illustrations fournies dans les dossiers pourraient se suffire à elles-mêmes.
Ici, il s'agit de stylos, mais le principe reste le même à une échelle un peu plus grande.
En résumé, ce que j'ai cru comprendre, car je n'ai qu'une approche encore théorique de l'assemblage :
- On peut partir d'un carrelet parfaitement corroyé comme Jean Claude (1er lien ) ou d'un cylindre (2ème) si l'on souhaite multiplier les croisements de lignes en un noeud plus complexe, en le coupant à 6 reprises par ex.
- Le moindre erreur de positionnement à partir du sciage n°2 entraîne un décalage disharmonieux des lignes. D'où l'importance du gabarit de sciage et de la butée de blocage.
- L'épaisseur des plaquettes incrustées donnant le motif est liée à la largeur du trait de scie ( radiale ou circulaire) Par contre, j'ai assisté à une démo Régnier/Buffard où les coupes s'effectuaient à la ruban, mais je ne me souviens plus des possibilités ainsi offertes en sus.
woodturningonline
georges-penworks
A+
Pierre